Nous regroupons dans cette rubrique tous les articles parus concernant le Groupe Ière Toulouse ou écrits par celui-ci.

Scout d'Europe - Tradéri


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Scout d'Europe:

Mais comment agrandir ces images pour pouvoir les lire?
1) Cliquer dessus (vous y aviez pas pensé hein?).
2) Lorsque vous l'avez en plus grand, il y a peut-être soit une loupe qui s'affiche, soit un bouton en bas à droite qui apparaît lorsque vous avez le curseur sur l'image: cliquez-dessus!

© Scout d'Europe n°237 (Juillet-Août 2008)

© Scout d'Europe n°237 (Juillet-Août 2008)


© Scout d'Europe n°226 (Septembre-Octobre 2006)


© Scout d'Europe n°226 (Septembre-Octobre 2006)


© Scout d'Europe n°220 (Août-Octobre 2005)





Tradéri:

W-E Transmissions	Eurojam 94	Pâques 98	Été 98
Rallye 97 Ecureuil	Rallye 97 Loup	Rallye 97 Panthère	Rallye 97 Renard

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Envoyé Spécial

«- Samedi 23 Octobre et Dimanche 24, stop –
- Week-end transmission, stop
- Temps pluvieux, stop
- Contact avec l’ETE TRANS à 16h00, stop
- Sont attendus H.P. et transmetteur de toutes les troupes, stop
-But de la manœuvre, épanouissement des scouts en matière de transmission, stop...»

Ce n’est pas un tel moyen révolu de transmission que nous avons utilisé, mais cela aurait pu l’être. En effet, le week-end transmission a permis aux troupes présentes de se constituer en bonnes bases, en pratiquant sous forme de jeu quelques exercices, en utilisant un émetteur radio, des téléphones de campagne, ou tout simplement un sifflet. De plus, grâce à un équipement plus complexe, chaque scout a pu, au comble de l’admiration, jouir de nombreuses démonstrations de communications avec l’étranger (USA par exemple).
Ce week-end fut donc enrichissant techniquement certes, mais aussi pédagogiquement et spirituellement, puisque Daniel Lécorché, responsable de l’équipe transmission, a pu d’une part nous expliquer le but de la transmission dans le scoutisme (sécurité, accessoire ludique, ...) et d’autre part nous raconter ses expériences personnelles et certains miracles dont il a été témoin, qui ont consolidé sa foi.
En conclusion: «Week-end bien déroulé, scouts satisfaits, mission accomplie, terminé...»


Toujours plus haut

Plus d’une douzaine de patrouilles ont reçu hier soir leur insigne cîme, résultat de leur qualification. Toutes ont réalisé un défi technique et une action d’évangélisation.
Une patrouille cependant se distingue : c’est la Panthère de la Troupe Ière Toulouse.
Son défi : construire le portique d’entrée de leur sous-camp.
Son action d’évangélisation : intégrer dans la patrouille un enfant handicapé.
Certaines patrouilles se sont qualifiées en réalisant un effort momentané, la Panthère s’est occupée de Sébastien lors de chaque activité : sortie, week-end, camp d’été.
Sébastien est devenu un garçon de la patrouille à part entière grâce à l’action des scouts de la patrouille et de la troupe qui l’ont soutenu dans les difficultés de la vie quotidienne car leur action ne s’est pas limitée à la vie scoute de Sébastien.
Cyprien, le CP, a été investi Raider.
Gageons de son abnégation, sa volonté de servir les plus faibles et les plus démunis de notre société sera pour nous un exemple et nous encouragera à aller à leur rencontre, à ne pas accepter la facilité de l’indifférence.
Souhaitons à cette patrouille de trouver la force nécessaire à un si beau service.
Bonne route à Cyprien.

La Ière Toulouse et la Ière Revel dans les préparatifs du camp:

En vue de construire une cité lacustre pendant le camp 98, la Ière Toulouse et la Ière Revel ont décidé de prendre 3 jours pendant les vacances de Pâques et de faire un ponton sur le lac de Trotoco, dans la Montagne Noire. Quel sacré défi pour cet été !!!

Pour préparer cette épreuve technique de ce mois de juillet, nous avons fait un essai plutôt réussi. Nous sommes arrivés le 4 avril au petit matin et nous avons passé une journée à couper des perches et des trépieds assez imposants. Un trinôme a sondé le sol afin d'avoir des mesures plus précises sur la hauteur que devaient avoir les trépieds. Après ce premier jour, nous nous sommes couchés sans faire d'histoires, car nous étions un peu fatigués de cette première journée d'activité.
Le second jour, après avoir mis des combinaisons, nos plongeurs scouts sont allés mettre tous les trépieds dans l'eau pour pouvoir commencer le tablier de ce ponton. Le soir, les deux troupes ont accompagné les promessards dans une veillée qui a duré toute la nuit. Le dimanche (3ème jour) après la messe des Rameaux, les aspirants ont prononcé leur promesse et désormais il font partie de la grande fraternité scoute.
De plus, le mauvais temps a montré le bout de son nez et, dans l'après-midi, nous avons eu une bonne douche. Le ponton étant fini, nous sommes allés après le déjeuner aider le propriétaire à dépierrer un champ. Une fois trempés jusqu'aux os, nous sommes allés nous réfugier dans une bergerie en attendant l'arrivée des parents pour la fin du camp.
Ce ponton restera dans tous les esprits car il a été un moyen de se perfectionner techniquement et découvrir ou redécouvrir ce magnifique paysage de la Montagne Noire. C'est un bon moyen de se préparer pour le camp de cet été 1998 où, j'en suis sûr, un très bon travail sera fait et il y aura beaucoup de surprises.


Camp d'été 98 : Ière Toulouse et Ière Revel

" Au temps des Vikings "

Cette année la Ière Toulouse et la Ière Revel avaient décidé que le camp d'été aurait comme thème " les Vikings ".
C'est ainsi que ce samedi matin de juillet on eut cru que des Vikings avaient débarqué à Toulouse. Autour des bus, à qui une hache, à qui une hallebarde, à qui une massue, à qui un bouclier doré, à qui une épée... ! La bonne humeur et la détermination étaient au rendez-vous. Destination Dompierre sur Bresbe (près de Moulin) pour un voyage de 10 heures.
Quand la horde de Vikings débarqua sur le territoire de Dompierre, ils installèrent leur camp près d'un lac. Le premier soir nos barbares ont envahi la maison du Seigneur du coin pour regarder avec beaucoup d'enthousiasme la finale du " Mondial ".
Le lendemain matin, nos vaillants chefs nous ont expliqué leur projet. Il s'agissait de construire une cité lacustre afin d'améliorer notre confort et notre sécurité. Nous avons ainsi débité 3 km de rondins !
Quarante trépieds, reliés par des rondins transversaux, ont été installés sur l'étang. La base couvrait une surface de 80m². Nous avions ensuite posé un plancher (toujours des rondins) sur la base centrale de notre future cité.
Une pause dans les travaux a été décidée car nos chefs nous ont envoyé explorer les territoires alentours. Le grand raid commençait! Un secteur a été affecté à chaque patrouille. Il fallait décrire les villages que nous traversions, tracer le chemin que nous prenions, rapporter des dessins des paysages et bâtiments importants que nous rencontrions, rapporter un herbier des différentes plantes trouvées sur notre itinéraire et enfin prendre un temps de méditation collectif sur le sujet de notre choix. Certains ont dormi dans un château, d'autres dans des presbytères et d'autres encore à la belle étoile !
Cette exploration, qui a duré 2 jours, a été très intéressante car elle a permis de rapporter beaucoup de renseignements sur le pays qui nous entourait.
La construction de la cité s'est poursuivie pendant encore 4 jours. Les maisons sur pilotis, autour de la base centrale, commencèrent alors. Chaque patrouille a utilisé des techniques différentes. Le résultat fut superbe... Sauf pour une des maisons qui s'est effondrée ! Quelle rigolade et heureusement pas de blessés. Mais beaucoup de déception pour la patrouille de l'Ecureuil de Toulouse.
Une fois ce travail terminé, il fallait organiser les Olympiades : les joutes sur l'eau, le tir à la corde, le lancer de flèche polynésienne, un parcours Hébert, le tir à l'arc et surtout la course de chars. La victoire fut accordée au Loup de Toulouse qui se sont battus comme de fiers Vikings.
Le concours cuisine, toujours sur le thème des Vikings, eut beaucoup de succès : hydromel, gâteau " Drakkar ", galettes au miel, crêpes au poisson...
Le grand jeu a duré 3 jours. Il fallait trouver le trésor des Vikings à coup de batailles et de trocs entre patrouilles. Il y a même eu un concours de construction de drakkars. L'Ecureuil de Toulouse et le Requin de Revel ont gagné le grand jeu. Beaucoup de blessés, d'enthousiasme et de rigolade !
Pour clôturer ce jeu et ce camp un grand banquet a été organisé autour d'un méchoui. On s'est régalé.
Malheureusement il fallut penser au retour et plier le camp. La dernière nuit s'est passée à la belle étoile car le départ était prévu à 7 heures du matin.
Nous étions tous fatigués, triste de quitter cette bonne ambiance barbare, mais heureux de retrouver notre famille. Cette expérience unique restera inoubliable.
Merci à nos chefs et à l'Abbé du Plessis.


Populations et Rallye

En l’an de grâce 1997, près de 8 siècles après Aliénor d’Aquitaine, la Gascogne est le siège de violents combats entre les Anglais et les Français. Notre reporter enquête auprès des populations éplorées...
1) Êtes-vous au courant de ce qui se trame ces jours-ci dans la région ?
Pour la majorité, ils ne soupçonnent pas les manœuvres sanguinaires qui se déroulent sous leurs yeux.
2) Si oui, savez-vous pourquoi tous ces scouts sont rassemblés ici ?
Force est de constater que personne n’a pu répondre à cette question. Dommage que les populaces de ces contrées ne furent pas plus impliquées ou tout au moins plus informées de nos activités.
3) Comment jugez-vous cette présence ?
Le jugement est entièrement positif. Pas de dérangements majeurs, bien au contraire les habitants trouvent que cette présence insuffle au pays de la jeunesse et de l’action.
4) Pourquoi avez-vous acceptés de recevoir des scouts ? (cette question s’adresse à des hôtes) ?
Nos hôtes plébiscitent à la fois le dynamisme mais surtout la mentalité du scoutisme. De plus, le fait d’avoir été scout a aussi pesé dans leur décision. Comme quoi, le scoutisme a encore de beaux jours devant lui...
Si les populaces semblent mal renseignées (peut-être grâce à une forte campagne de désinformation de l’un des deux camps ?), les combats n’en font pas moins rage en Gascogne et la lutte pour la conquête du Gonfanion de province est plus que jamais acharnée...

Rallye de Province 1997

Le rallye de province commença le Mercredi 23 Avril et finit le Dimanche 27 Avril 97. Mercredi : les 48 patrouilles montent dans les bus pour aller à Condom ; elles sont réparties sur 16 Kms de longueur sur 3 Kms de largeur. Les patrouilles sont dispersées. Elles montent les tentes, la table, la table à feu, four etc...
Jeudi : les missions commencent : acolyte, secouriste, botaniste, journaliste, course d’orientation, cuisinier, opérateur radio et metteur en scène. Elles sont réparties sur toute la surface de terrain de jeux. Pour y aller des navettes sont mises à notre disposition permettant aux plus fainéants d’entre nous de se déplacer sans difficulté.
Vendredi : suite des missions et du jeu (bataille bleu contre rouge et festin de réconciliation).
Samedi : bataille (suite), réconciliation, retour au camp, rassemblement, résultats des missions et le soir adoration au Saint Sacrement.
Dimanche : rangement du coin pat, messe à Condom, rassemblement final, pique-nique, retour à Toulouse.
Ainsi s’acheva ce mémorable Rallye de Province 1997.
P.S En remerciant les habitants de la région pour leur accueil chaleureux ainsi que les organisateurs de ce rallye nous ayant permis de passer un excellent camp.


Un Accueil chaleureux

Lors de notre étude sur la région du rallye, nous avions entendu dire que l’accueil des habitants du Gers était extrêmement chaleureux.
En effet, après avoir déchargé nos affaires du bus une dame, voyant que nous avions beaucoup de mal à transporter notre matériel, nous proposa très gentiment de nous le porter en voiture. Elle nous indiqua par la même occasion le chemin le plus court pour rejoindre le lieu-dit où camper. Ensuite nous sommes allés nous présenter aux propriétaires qui nous accueillirent à bras ouverts. Ils nous avaient préparés deux places sur lesquelles nous pouvions bivouaquer. Suite à cela, n’ayant pas eu le temps d’acheter du pain, nous avons demandé à la propriétaire si elle pouvait nous dépanner pour un repas. Elle nous donna avec grande gentillesse un pain entier. Et le lendemain, elle acheta plus de pain que d’habitude pour nous en proposer.
Mais nous eûmes d’autres occasions de vérifier l’accueil des gens. De même, le Renard de la Ière Toulouse eut la joie de se faire transporter la malle par le propriétaire de leur lieu de bivouac. Puis les hôtes de l’Ecureuil de la Ière Toulouse leur ont proposé des douches chaudes avec interdiction d’utiliser l’eau froide.
Finalement, ce que nous avions entendu dire sur cet accueil s’est avéré vrai et très agréable.


Entretien avec Mr Moujet, agriculteur
Le temps est de bonne augure pour les vignes mais pour les autres cultures c’est la catastrophe. Le temps est très chaud et la terre sèche. Pour avoir de bonnes vignes il faut un temps sec et chaud et de la pluie environ trois fois dans la saison. Dans une année normale les vignes commencent à mûrir le 10-15 avril et la vendange peut avoir lieu entre le 25 septembre et le 1er octobre. Comme repère on peut prendre 90 jours après l’apparition des feuilles, environ à la Saint Jean, pour la date des vendanges.
Certains vignerons font eux-mêmes leur vin et d’autres le font en coopérative. Cette année, les vignes ont trois semaines d’avance.
Dans la région on trouve toutes sortes de cultures et il est rare que tout le monde soit d’accord sur la météo. Il y a peu de bovins mais les rares exploitations sont très grandes.
Les exploitations de vignes sont majoritaires dans la région et le vin est expédié dans tout le sud de la France.